Des critiques positives tout comme négatives à l’endroit de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) se multiplient après la tenue des élections combinées du 20 décembre puis prolongées au 21 décembre.
A l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), parti présidentiel, l’on encense Denis Kadima, président de la centrale électorale. Son secrétaire général Augustin Kabuya appelle à l’érection d’un monument à l’honneur du président de la CENI pour le travail abattu.
« il faut un jour faire un monument pour Dénis Kadima de la CENI. C’est un homme à féliciter. L’opposition avait ses machines à voter. Elle s’apprêtait à changer les machines à voter », estime Augustin Kabuya.
Cependant, certaines voix appellent à l’arrestation du président de la CENI pour avoir organisé des élections “chaotiques”. L’opposition appelle à une marche pacifique pour dénoncer les irrégularités de ces scrutins. Une autre frange appelle à l’annulation des élections combinées du 20 décembre.
C.K