Après une longue période d’hibernation et de repli stratégique, le Front commun pour le Congo (FCC) vient de rompre son mutisme par une déclaration politique rendue publique le 15 septembre, dans laquelle il passe au crible toute la situation sociopolitique du pays.
Une emphase particulière a été notamment mise sur le processus électoral actuellement au point mort suite à la controverse que suscite la désignation du président de la Centrale électorale par les confessions religieuses. La plate-forme politique pro Joseph Kabila craint que les tergiversations auxquelles donne lieu l’élection du président de la Commission électorale nationale indépendante (Céni) ne puisse avoir une incidence négative sur la suite du processus avec, pour conséquence, le prolongement des élections au-delà de 2023.
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