Dans un communiqué de presse signé le 11 mai 2020, Isabel dos Santos dénonce ce qu’on peut qualifier aujourd’hui, sans peur d’être contredit d’acharnement dont elle est victime de la part des nouvelles autorités Angolaise.
Comment comprendre que dans un pays où les autorités prétendent lutter contre la corruption, l’on se servent des moyens peu recommandable pour atteindre des fins inavouées ?
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