En accédant à la magistrature suprême le 24 janvier 2019, Félix Tshisekedi avait promis de tout mettre en œuvre pour l’instauration d’une véritable justice en République démocratique du Congo. Deux ans après, l’opinion constate malheureusement une justice à double vitesse où les uns sont épargnés, malgré leur conduite, et les autres punis.
Déjà, la condamnation de Vital Kamerhe au terme du procès dit de 100 jours, est qualifiée de politique par d’aucuns, pour l’écarter de la course à la présidentielle de 2023. Lors de son long séjour dans la partie-Est de la République démocratique du Congo, le chef de l’État a contredit le verdict de ce procès, estimant que “Vital est un homme honnête”. Le magistrat suprême a, d’ailleurs, indexé cette même justice, l’appelant à changer le fusil d’épaule pour véritablement refléter ce qu’il appelle ” État de droit”.
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