« La population a besoin d’une nouvelle dynamique pour répondre à ses attentes ». Ce sont là les mots-clés du chef de l’État devant les 85 sénateurs de l’Union sacrée de la nation qu’il a reçus pour la première fois, samedi 5 juin dans la soirée. Et même si la paix et la sécurité restent les principales préoccupations de Félix Tshisekedi, il n’y a point de doute, le cinquième président de la République tient à marquer la rupture avec le passé.
C’est pour dire qu’avec ou sans fracas, cette rupture consiste également à laisser libre cours à la Justice. Certains sénateurs ne l’ont pas caché. Ils sont appelés à ne pas faire obstruction à la justice, de peur de discréditer la Chambre haute du Parlement. Cette Chambre qui est d’ailleurs en instance d’examen des réquisitoires du Procureur général près la Cour constitutionnelle, sollicitant la levée des immunités parlementaires des Sénateurs cités dans le rapport de l’IGF sur la débâcle du parc-agro-industriel de Bukanga Lonzo.
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