Dans un tweet ce mardi 3 août à Kinshasa, l’ancien Premier ministre Matata Ponyo a dénoncé la violation de son domicile par la police. « Ma résidence vient d’être violée par une dizaine de policiers dirigés par un général. La porte de ma chambre, où j’étais couché en repos médical, a été cassée et j’ai été menacé pour avoir refusé de répondre à un mandat de comparution illégal sur le dossier Bukanga Lonzo », écrit-il. Une source policière a reconnu la descente « de la police judiciaire au domicile de M. Matata », sans autre précisions.
L’ex-Premier ministre réaffirme son refus de répondre aux convocations du Parquet général près la Cour constitutionnelle :
Support authors and subscribe to content
This is premium stuff. Subscribe to read the entire article.