Le 2 Novembre est la Journée Internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes.
Une journée particulière pour les professionnels des medias oeuvrant en Rdc qui vivent un moment sans pareil de dure exercice de leur métier dans le contexte politique actuel de ce pays.
Sur le plan social, le journaliste congolais est dans une situation de précarité sociale incompréhensible, un traitement salariale ne respectant aucune réglementation en matière du travail descend, aucune sécurité sociale couplé à une absence de sécurité juridique. Dans un pays à l’apprentissage de la démocratie et du respects de la liberté d’opinion depuis plus de 20 ans, être journaliste requiert plus de courage qu’on ne peut le croire.
“Garantir la sécurité des journalistes, c’est contribuer à l’édification d’un État de droit. Ceci passe notamment par la dépénalisation des délits de presse”, est le thème choisi cette année, un thème qui tombe en à-propos en Rdc ou à chaque fois que le journaliste dénonce dans le cadre de l’exercice de son métier la justice, au lieu de prendre les révélations du journaliste comme éléments à charge pour des éventuels enquêtes, c’est plutôt l’homme de presse qui est visé par les magistrats!
Quel renversement des valeurs!
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