Depuis que cette vaste blague a été lancée, dit-il, nous avons observé une attitude que l’on peut qualifier de passive mais active plutôt. Il considère que la loi en soit peut être bonne mais « les circonstances dans lesquelles elle est lancée, les acteurs qui l’ont proposée… tout cela pose problème », tranche Kitoko.
Pour le secrétaire général de l’ECIDé, un fraudeur qui propose un mécanisme à travers lequel il faudrait sélectionner les gens pour accéder au poste qu’il occupe par fraude, n’est pas susceptible de confiance. « Nous sommes dans un contexte d’un pouvoir illégitime issu de la corruption et de la fraude. Mais c’est comme un voleur d’un bien qui propose une loi interdisant la récupération par le propriétaire d’un bien volé, alors qu’il a un bien volé chez quelqu’un d’autre », argumente Kitoko.
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