A la mi-mai, de nouvelles accusations d’agressions sexuelles ont été portées contre des travailleurs humanitaires, notamment de l’Organisation mondiale de la santé, en République démocratique du Congo.
Une cinquantaine de pays se sont dits « inquiets »vendredi 28 mai au regard des allégations selon lesquelles des dirigeants de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ont omis de signaler des cas d’agressions sexuelles par des membres du personnel de cette organisation et « frustrés »devant la lenteur et le manque de transparence de l’enquête.
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